22 avril 2007
Kafrine
Kafrine la pa bésoin pléré,
Ton Kaf lé encor la
Bondié,ou va sant Maloya
Y fé fré déor, moin dé atan a ou
Mé moin la pa perd léspwar, moin la giny couraz
Mé la y fé nwar y fé fré déor
Mé la y fé nwar y fé fré déor Kafrine
Le tan fini passé Kafrine le tan fini coulé
Mon kèr dan l'désépwar la vi va fér nwar...
Ti Sours, 1995, Réunion
15:49 Publié dans Musiques du coin | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : vive la vie, musique
Commentaires
et la traduction please !!
ça a l'air joli , j'ai retenu Mayola , il me semble que c'est une musique , un rythme endiablé , si je me souviens bien Kintana m'en avait parlé ...merci pour ton passage chez moi et ta pensée pour ma p'tite fille ...
Écrit par : debla | 22 avril 2007
Yepeeee! ti frér!
kan ti sours i sant, mon kér i dans!
et celle là, c'est ma préférée... de celles que je connais de lui!
Yepeeeeee! ti frér... ou la ran a mwin kontant, là!
Bonne vie!
Écrit par : Kintana | 22 avril 2007
Pour Débla, bien que ce soit difficile de traduire la poésie :
Cafrine, pleure pas, ton cafre est toujours là, Bon Dieu tu va chanter le Maloya. Dehors il fait froid, je t'attends, je ne perds pas l'espoir,
j'ai courage. Mais là il fait noir, il fait froid dehors, Cafrine, le temps a passé, le temps s'est écoulé, mon coeur dans le désespoir, le noir va tomber...
Ni artrouv, Kintana.
Écrit par : xavier | 01 mai 2007
si tu veux les paroles exactes, vas a ce liens, car ils manque pas mal de paroles dans la tienne.
http://paroles.zouker.com/parole_ziq.php?id=80202
Écrit par : thierry | 21 mai 2007
pourkoi le maloya devrait etre tjrs associé au rytme endiablé, je sais que tu ne voulais pas dire cela debla, mais le maloya est surtout un chant d'espoir qui aidait les esclaves a tenir dans l'enfer qu'ils vivaient, c'est aussi un chant pour crier sa souffrance, ou pour simplement passer un message, c'est aussi pour cela que dans le maloya on trouve toujours une voie qui annonce et un choeur qui repond, en reprennant le message envoyé.
maintenat aprecié le maloya pas que pour ces rytmes endiablé comme vous dites, mais pour son integralité. son esprit. il faut le deffendre, car le maloya a eu une histoire trop tardivement reconnue.
Écrit par : thierry | 21 mai 2007
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