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12 juin 2008

Le passage

Chacun des pas de la jeune femme ne s’effectuait que sous l’ordre de Judex, lui-même peu rassuré de devoir traîner sur de telles passerelles. Il ne connaissait pas le vertige, mais il savait, ou plutôt ne pouvait s’empêcher, d’imaginer les conséquences d’une chute ou d’un faux pas.
Le dernier passage délicat se situait dans un lieu humide du fait de l’écoulement d’eaux de ruissellement depuis le haut des remparts surmontant le sentier. Rose-Améline aurait certainement rebroussé chemin si cela ne l’avait pas contrainte à affronter en sens inverse les mêmes difficultés. C’est en rampant sur le ventre, centimètre par centimètre, fixant Judex dans les yeux pour être sûre de ne pas jeter son regard vers l’abîme, qu’elle réussit à franchir glorieusement cette ultime épreuve...

(passage précédent.)

Commentaires

Eh beh !! elle est courageuse la dame !!

Écrit par : patriarch | 12 juin 2008

Où nous mènes tu, Xavier ? On imagine très bien... cette longue et difficile marche !

Écrit par : rony | 13 juin 2008

Chaque jour est une passerelle et très souvent le vertige est là, sournois qu'il faut braver.

Écrit par : La Fanchon | 13 juin 2008

Elle a raison Fanchon
le vertige le pire est celui qui survient sur des passages où on ne s'attend pas
et il peut nous faire chuter méchamment.
Vla't'y pas que je me laisse gagner par le pessimisme.

Écrit par : Rosa | 13 juin 2008

à patriarch, elle était très courageuse
à rony, je ne sais pas, on verra
à La Fanchon, vertige ? Sournois ? Je brave, tant bien que mal
à Rosa, garde ton optimisme, ça vaut le coup !

Écrit par : xavier | 14 juin 2008

Les commentaires sont fermés.